CSI NY - Les aventures de Mme Bidle - Don/Danny

ha ha ha.... :mmdr: :mmdr:
Mme Biddle est encore vexée!!!! :mmdr: :mmdr:
Mais oui, un joli petit streap tease et ça va s'arranger, surtout s'il est agrémenté de... :sortlalangue: :sortlalangue: :sortlalangue:

Merci beaucoup! Je ne me souviens de ce que Mme Bidle va inventer la prochaine fois. Je pense qu'elle commence à prendre un peu trop de liberté...

Mais non c'ets juste qu'elle st béate d'admiration devant ses idoles -on peut être parce que elle se fait un gentil scénario en tête-



elle était pas espionne mne B avant???

Lillie a écrit:

Mais non c'ets juste qu'elle st béate d'admiration devant ses idoles -on peut être parce que elle se fait un gentil scénario en tête-



elle était pas espionne mne B avant???

Je pense qu'elle devait être détective privé. Afin d'espionner les maris infidèles.

Pandi a écrit:

Lillie a écrit:

Mais non c'ets juste qu'elle st béate d'admiration devant ses idoles -on peut être parce que elle se fait un gentil scénario en tête-



elle était pas espionne mne B avant???

Je pense qu'elle devait être détective privé. Afin d'espionner les maris infidèles.

Ben elle ne devais pas chômer ... ok je suis d'humeur cynique quand je n'ai pas dormi ^^

La veille au soir, Mme Bidle avait entendu ses deux charmants voisins d’en face se donner un rendez-vous sur le balcon. Sans gêne, la vieille dame décida de s’inclure dans l’invitation. Cette fois-ci, ne voulant rien manquer du spectacle, Mme Bidle avait tout préparé. Elle ne se laisserait pas prendre au dépourvu. Elle avait appris de ses erreurs passées.

Les lunettes d'observation étaient prêtes, l'oreille bionique fonctionnait et les piles de rechange se trouvaient à portée de main sur la petite table basse. Elle-même s'installa confortablement sur un tabouret de bar (qu'elle venait de s'acheter, au plus grand étonnement de son mari qui trouvait qu'il ne cadrait pas du tout avec la déco du salon).
Ledit tabouret, placé devant la fenêtre, lui donnait une vue légèrement surélevée et donc imprenable sur le paradis. Enfin, sur le paradis de Mme Bidle: l'appartement de ses deux policiers préférés.

Après plus de deux heures d'attente, où Mme Bidle avait nettoyé par 10 fois les lentilles de ses jumelles pour être sûre de ne rien manquer, mettant sa patience à rude épreuve, la nature se rappela à elle: elle devait aller se soulager au petit coin, maintenant, là, immédiatement, sous peine d'inondation. Mais le problème, c'est qu'elle savait que ses deux chouchous se trouvaient à l’intérieur de leur appart'. Cruel dilemme, partir et peut-être manquer le spectacle ou rester et...

Elle choisit la première solution, de toute manière elle serait plus à l'aise après et ils ne semblaient pas encore prêts à débuter le show. Le grand brun venait d’apporter deux bières et un bol de chips, à croire qu’eux aussi se préparaient à regarder un spectacle. Mme Bidle s’extirpa avec regret de son tabouret. Elle mit moins de deux minutes pour faire l’aller-retour – pause pipi comprise – et revenir à son poste d'observation. Et là, catastrophe, ils avaient commencé sans elle! Les goujats, ils passaient à l’action sans attendre leur plus fidèle spectatrice, alors qu'elle s'était préparée pendant tout un après-midi pour pouvoir les admirer.

Heureusement, l’effeuillage des vêtements ne faisait que commencer, offrant leurs torses nus à sa vue. Aujourd’hui, ils semblaient vouloir se la jouer en lenteur et en douceur, prolongeant ainsi leurs ébats. Mme Bidle vissa ses yeux et une main sur ses lunettes d’approche, alors qu’une oreille et l'autre main s’occupaient de l'appareil d'écoute. La vieille dame se mit alors à son aise et admira le spectacle.

Elle entendait chaque gémissement, cent fois mieux qu'à la télé. Sa respiration se calqua sur celle des deux hommes. C’est alors qu’Armand releva la tête de son journal en fronçant les sourcils. Son regard fit lentement le tour de la pièce pour finir par se poser sur le réfrigérateur.

— Chérie, je crois que l’on va devoir faire venir le réparateur. Le réfrigérateur bourdonne étrangement, tu ne trouves pas ?

— Mais non, chéri. Tu ne peux pas l’entendre, répondit impatiemment Mme Bidle en tentant de maitriser sa respiration trop rapide. Tout va bien, je contrôle parfaitement la situation.

— Je pense que je vais enclencher la climatisation, tu es un peu rouge. As-tu chaud?

— Armand, arrête de vouloir être serviable. Tout va bien. J’ai dit que je contrôlais la situation.

— Dans ce cas, je vais retirer mon appareil et lire mon journal en paix, ronchonna Armand en replongeant le nez dans son journal

Les gémissements se firent plus profonds, les caresses plus langoureuses et Mme Bidle trouva qu’effectivement, la climatisation devrait fonctionner à plein régime afin de faire descendre la chaleur irradiant de son pauvre corps au bord de la combustion. Les corps en sueurs se mouvaient avec grâce et volupté devant elle, comme si les amoureux dansaient sur une musique pouvant n’être entendue que par eux, oubliant que leurs voisins pouvaient avoir une ouïe fine.

Le cri des prénoms inonda l’oreille de Mme Bidle, annonçant la venue du clou du spectacle. Le feu d’artifice explosa en même temps pour les policiers, révélant à la vieille dame la célébration du bouquet final. Un gros bruit se fit alors entendre dans l’appartement de Mme Bidle. Le plancher trembla légèrement, ce qui attira l’attention du lecteur, la tête jusque-là obstinément plongée dans son éternel journal.

— Chérie? Tu es sûre que tu contrôles toujours la situation ? demanda Armand en regardant sa femme qui venait de tomber de son perchoir et se retrouvait les quatre fers en l’air sur le parquet.

— Que dirais-tu de faire chuter ton pantalon et de faire baisser la pression? Demanda Mme Bidle d’une voix haletante en se redressant sur ses genoux

— Pourquoi pas. À condition de ne pas le faire en équilibre sur ce truc.

— Tu as bien raison, personne ne doit toucher à ce tabouret, c’est mon outil de travail. C’est comme les dentiers, ça ne se prête pas.

— Mais pourtant, tu m’as déjà…

— Armand! Arrête, sinon, je vais devoir le faire en silence.

— Si j’avais su que je n’avais que ça à dire pour t’imposer le silence, marmonna Armand pour lui-même en commençant à défaire la boucle de sa ceinture.


Merci à Melissande pour sa participation à l'écriture de cette aventure.

:hahahaha: :hahahaha: Madame Biddle devrait s'adresser à Cali pour lui envoyer des couches!!!! Comme ça plus de choix cornélien à faire... :yeah:
Bon, et pourquoi donc que tu coupes la deuxième partie du spectacle hein???

Décidément j'adore cette Madame Biddle... :hop: :hop: et j'espère que tu vas nous la remettre en scène (et en selle) très bientôt!!! :Cool.:

Cissy a écrit:

:hahahaha: :hahahaha: Madame Biddle devrait s'adresser à Cali pour lui envoyer des couches!!!! Comme ça plus de choix cornélien à faire... :yeah:

Ok Cissy je sais que je sors en douce 5 paquets de couches pour toi toutes les semaines, mais je ne suis pas le fourniseur officiel des utilisatrice de déambulateur !!! demande a Angy elle aussi est dans le métier :mangadémoniaqu

Cissy a écrit:

Bon, et pourquoi donc que tu coupes la deuxième partie du spectacle hein???

Merci d'avoir arrêter ta fic là !

Cissy a écrit:

Décidément j'adore cette Madame Biddle... :hop: :hop: et j'espère que tu vas nous la remettre en scène (et en selle) très bientôt!!! :Cool.:

Merci beaucoup pour vos commentaires! Mme Bidle va remettre ça très bientôt! C'est vrai que j'aurais dû penser à lui mettre une couche. Comme ça, la fic aurait pu se poursuivre.

:mangajeveuxpas Ah! Non! Il y a des choses que je ne veux pas voir!

Cali a écrit:

Ok Cissy je sais que je sors en douce 5 paquets de couches pour toi toutes les semaines, mais je ne suis pas le fourniseur officiel des utilisatrice de déambulateur !!! demande a Angy elle aussi est dans le métier

:mangacolére: :mangacolére: Je vais finir par porter plainte pour diffamation moi :mangacolére: :mangacolére:
Je n'ai pas besoin de déambulateur et je n'ai pas de couches!!!! Alors celles que tu sors en douce, je ne veux pas savoir pour qui elles sont!!!! :mangadémoniaqu :mangadémoniaqu

je pense que c'est une de mes préférées "Envie" , ou alors " Chaleur dans l'appartement de Mme B", après un spectacle pareil, le tabouret n'y a pas résister je pense bien que la pression devait être haute , c'est Armand qui a dû être content , alors la prochaine c'est quoi?

— Armand, le beau policier brun prépare le barbecue. On pourrait manger à l’extérieur nous aussi.

— Mmm.

— Les brochettes de poulet me semblent vraiment très appétissantes. Au moins autant que le poulet lui-même. Peux-tu passer à la boucherie?

— Mmm.

— Avec des légumes en papillotes, excellente combinaison. Je me demande ce qu’il y aura au menu pour le dessert? Si je suis chanceuse, il ne sera pas comestible.

— Mmm.

— Tu n’écoutes vraiment rien, sinon, tu te proposerais pour être mon dessert. Tu as encore pas mal de vigueur pour un homme de ton âge.

— Mmm.

— Voilà le plus petit qui rapplique. Il n’a pas l’air bien. Je le trouve un peu pâle et beaucoup trop calme.

Armand se dirigea vers la boucherie, une note à la main, laissant sa femme à ses réflexions.

— Le repas est bien silencieux. Le blondinet parle à peine. Je peux parfois voir ses lèvres bouger, mais malgré mon oreille bionique, je n’arrive pas à comprendre ce qu’il me dit. Heu, ce qu’il dit. Il n’a presque pas touché à son plat.

Armand revint et rejoignit sa femme sur le balcon, afin de faire cuire leur repas.

— Chérie, as-tu écouté les nouvelles aujourd’hui?

— Non, je surveillais les réparations sur le toit d’à côté. On ne sait jamais ce que les ouvriers peuvent faire si on les laisse sans surveillance…

— J’ai entendu dire par un client à la boucherie…

— Comment as-tu fait? Ah! Oui, il n’y a que moi que tu n’entends pas.

— Laisse-moi donc parler pour une fois!

— …

— Il y a eu tout un carnage la nuit passée. Un homme a abattu sa femme et trois de leurs enfants. Le quatrième est mort dans les bras d’un jeune policier. Apparemment, il y avait du sang partout. Un vrai massacre.

— Voilà qui explique bien des choses.

— Danny?

— Mmm.

— Je crois que tu devrais lever les yeux.

— Mmm.

— Ça va t’aider à te détendre.

— Pauvre petit, quelle pénible journée il a eu. Il faut lui redonner le sourire. Armand! Armand!

— Mmm.

— Armand! Mets-toi à poil!

— Mmm. Pardon chérie?

— Tu m’as compris. Mets-toi à poil! On va leur montrer de quoi on est encore capable!

* * * * *

Pour la première fois, depuis la tragédie, Danny fit son premier véritable sourire.

:;génial;: :;génial;: Quelle riche idée que cette interversion des rôles!!!! :mmdr: :mmdr:
Il y a effectivement de quoi rendre le sourire à un mourant dépressif!!!! :bêta:

Alors désormais ils vont faire un concours de chaque côté de la rue? :oui:

:encreunp'ti: :moij'envuexen

OMG!!! Tu viens de me coller un énoooooorme sourire à moi aussi ^^
Une mamie voyeuse, fallait y penser . Je suis totalement fan ça y est! Manquerait plus que madame Bidle puisse se téléporter...Là je crois que son pauvre coeur ne tiendrait pas.

Merci beaucoup Cissy. J'imagine bien la scène avec l'animateur qui hurle dans son micro en décrivant ce qui se passe de chaque côté... Qui gagnerait un tel concours???

Merci JSmélie, je suis bien contente que tu aimes la charmante et un peu curieuse Mme Bidle.

Ben voilà... T'es lancée!!! Tu n'as plus qu'à l'écrire la fic :yaquibosse: bon ça peut juste être un rêve de la brave dame ou d'un des policiers remarque, mais avec ton talent je suis sûre que tu en ferais quelque chose de savoureux... :jevoisjevois:

Un rêve... Ça me donne une petite idée. Vivement les vacances que je puisse noter tout ça. Merci pour ta suggestion Cissy.

Elle est génial cette petite vieille, si ma grand mère était pareil ce serais très sympa.

félicitation et continue comme ça

Pandi a écrit:

Un rêve... Ça me donne une petite idée. Vivement les vacances que je puisse noter tout ça. Merci pour ta suggestion Cissy.

De rien, en échange je veux la primeur du concours moi!!! :mangadémoniaqu :mangadémoniaqu :mangadémoniaqu

quezeha a écrit:

Elle est génial cette petite vieille, si ma grand mère était pareil ce serais très sympa.

félicitation et continue comme ça

Merci beaucoup! Moi aussi j'aurais aimé une grand-mère comme Mme Bidle.

Cissy a écrit:

Pandi a écrit:

Un rêve... Ça me donne une petite idée. Vivement les vacances que je puisse noter tout ça. Merci pour ta suggestion Cissy.

De rien, en échange je veux la primeur du concours moi!!! :mangadémoniaqu :mangadémoniaqu :mangadémoniaqu

Ne t'inquiète pas, tu auras la primeur. :mangarire:

Merci Cali!

09-La puissance selon Mme Bidle

Par une belle et chaude journée du mois d’août, Danny enfile son short jeans et un t-shirt puis il se rend dans le stationnement afin de laver sa moto. Sous l’ombre de son parasol, Mme Bidle affiche un sourire épanouie en l’appercevant sortir avec son seau et son éponge. Chaque pièce de la carosserie à droit à sa part de caresse.

Vers midi, la chaleur augmente encore. Danny s’étire, le temps de s’accorder une petite pause et il retire son chandail. Mme Bidle se redresse et ajuste ses lunettes afin de ne rien manquer des roulements d’abdominaux qui vont suivre. Elle salive de plaisir en pensant aux bons moments à venir.

Danny enfourche sa moto et démarre le moteur pour le sentir vibrer entre ses jambes. L’exaltation du moment lui procure un sentiment de puissance. L’homme et son engin ne font plus qu’un. Le moteur ronronne encore plus fort qu’une chatte en chaleur. Mme Bidle n’a aucunement besoin de son oreille bionique pour l’entendre. Même M. Bidle relève la tête de son journal lorsque Danny enfonce à fond le gaz.

— Comme il est puissant!

— Mmm.

— Le brunet rapplique. Son pantalon démontre une envie évidente de chevauchée à deux.

— Mmm.

— Le petit affiche un sourire moqueur.

— Mmm.

— T’as vu ça? S’écria Mme Bidle. Le petit s’est emparé du boyau d’arrosage et il a aspergé l’autre.

— Mmm.

— Il a l’air malin tout trempé. Il va devoir se dévêtir!

— Mmm.

— Ces vêtements lui colle à la peau. Il est bien bâti. Qu’elle charpente! Ça vaut le coup d’œil!

— Mmm.

— Il va peut-être sortir son fusil à eau pour se défendre?

— Mmm.

— Il s’embrasse… Les mains se balladent…

— Mmm.

— Zut, ils montent. J’espère qu’ils vont opté pour le balcon!

— Mmm.

— Raté! Ils préfèrent l’air climatisé.

— Mmm.

— Armand? T’aurais pas envie d’acheter une moto?

— Oui chérie, tout ce que tu veux.

— Les vêtements de cuirs me vont si bien. Noirs et moullants!

:mangacontant: Le grand retour de Mme Biddle!!! :mangarire:

:mangaj'aime: :mangaj'aime: :mangaj'aime:

:moij'envuexen

Merci Cissy!